Elle guide les activités de la marque pour l’aider à relever les défis de demain, mais aussi pour développer et garantir à ses clients des produits fiables, durables et d’une qualité exceptionnelle. Pour répondre à ses propres exigences comme à celles de ses parties prenantes, la marque s’efforce d’améliorer chaque jour ses montres, sa performance environnementale ainsi que son impact sur la société en faisant continûment évoluer ses pratiques industrielles et commerciales. Elle investit à cet effet des ressources importantes en inscrivant l’entreprise dans une approche d’économie circulaire et en essayant de systématiser à l’interne les pratiques d’écoconception.
Nos engagements stratégiques
Limiter l’impact environnemental des produits et des processus de fabrication, tout au long de leurs cycles de vie, en intégrant des critères d’écoconception.
— Former à l’écoconception 100 % des concepteurs, designers et chargés d’industrialisation. Favoriser l’innovation pour la durabilité sur toute la chaîne de valeur.
— Créer une plateforme de pilotage transverse au sein de Rolex. Engager l’entreprise dans une approche systématique d’économie circulaire.
— Systématiser les circuits courts.
— Réduire les quantités de matières premières utilisées.
Innovation
Ouvrir de nouvelles voies
La réputation de Rolex s’est construite en grande partie sur sa capacité à innover. De la première montre-bracelet étanche au monde (Oyster) en 1926 aux mouvements mécaniques de nouvelles générations, en passant par l’invention du système de remontage automatique en 1931 (rotor Perpetual), la marque n’a jamais cessé de perfectionner le savoir-faire horloger. Elle est par ailleurs dépositaire de plus de 600 brevets.
Recherche et développement
Aux côtés des autres entités du groupe, la Division Recherche et Développement joue un rôle important en matière de durabilité. Chaque amélioration renforce la performance et la fiabilité des montres afin qu’elles restent fonctionnelles et réparables à vie. La division contribue aussi à la sélection de matériaux plus responsables – que ce soit au niveau de la montre ou de ses accessoires – pour diminuer l’impact de Rolex sur l’environnement.
Regroupant des profils aux expertises variées –physiciens, chimistes, ingénieurs en mécanique et microtechnique, ingénieurs matériaux, tribologues, statisticiens –, cette division a réparti ses activités autour de quatre pôles : innovation, matériaux et technologies, montre (habillage) et mouvement.
Focus
Initiative collaborative avec l’EPFL pour imaginer l’usine du futur
Initiative collaborative lancée par Rolex et l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), le Grand Challenge Precision Sustainable Manufacturing regroupe plusieurs projets partageant le même objectif : imaginer l’usine du futur en int égrant la problématique de la durabilité dans l’ensemble des processus et des matières utilisés pour fabriquer les produits Rolex. Le nouveau site de production de la marque à Bulle intégrera les résultats obtenus dans le cadre de cette initiative.
Quatre thèmes de travail ont été retenus (Matériaux et procédés, Énergie, Fabrication basée sur les données, Fabrication centrée sur l’humain) et seront traités l’un après l’autre pour que chacun bénéficie des conclusions du précédent.
En 2023, le premier challenge a porté sur les Matériaux et procédés. Un des projets en cours consiste à faire appel aux données théoriques pour modéliser les propriétés mécaniques de nouveaux alliages, notamment afin de réduire le nombre d’essais pratiques nécessaires et d’économiser ainsi du temps et des ressources.
Focus
Incubateur open innovation ekipa
Associée à l’incubateur d’open innovation ekipa, Rolex a participé au lancement d’une compétition d’innovation qui encourage étudiants, professionnels et start-up à collaborer avec des entreprises reconnues pour générer des idées en vue d’un futur plus durable. Le défi lancé par Rolex visait à rendre certaines opérations de galvanoplastie1 plus respectueuses de l’environnement. Après une phase d’appel à idées, Rolex a reçu neuf propositions qui ont été évaluées en interne sur leur faisabilité technique, l’innovation du processus et les gains en termes de durabilité. Après quatre semaines de développement, Rolex a choisi une solution d’électrodéposition d’argent ayant moins d’impact et générant moins de déchets. Cette solution développée par une start-up européenne pourrait, à terme, faciliter l’abandon des bains cyanurés en vigueur dans le procédé actuel.
¹ La galvanoplastie est un processus consistant à utiliser l’électrodéposition pour recouvrir un objet d’une fine couche de métal.
Écrins écoresponsables
Depuis 2020, Rolex travaille au développement d’un nouvel écrin pour la livraison des montres aux clients finaux, afin de réduire son impact environnemental.
Constitué d’une structure principale en bois (45 %) et de différents composants en carton et en cellulose moulée (31 %),ce nouvel écrin réduit sa part de plastique pétrosourcé de 92 % à 6 %, soit une diminution totale de 500 tonnes de plastique par an.
L’introduction de ce nouvel écrin écoresponsable garantit une réduction de 50 % des émissions de gaz à effet de serre liées à son cycle de vie. Ce gain est obtenu majoritairement dans les phases de production des matériaux (–46 %). La réduction du poids du nouvel écrin(–12 %) permet de baisser les émissions de CO2 issues des transports (–2 %). Le lancement de sa production en série est prévu en 2024.
Avancées techniques
Élimination définitive du plomb
Rolex va remplacer définitivement la totalité des alliages contenant du plomb présents dans les mouvements de ses montres. Ce basculement industriel vers un mouvement 100 % sans plomb a démarré fin 2018 et s’accélère au fur et à mesure de la validation fonctionnelle de chaque calibre. Cette approche permet de remplacer progressivement les mouvements sans mettre en péril la production et évite une importante mise aux déchets de composants pollués. Ce projet s’inscrit dans la suite de travaux exécutés sur les cadrans, qui ne comportent plus de plomb depuis 2019, en anticipation de l’évolution législative en la matière. En ce qui concerne les composants des mouvements, environ 75 % du volume qu’ils représentent ne contient pas de plomb à l’heure actuelle. Le taux de plomb présent dans les 25 % restants est inférieur à 4 %, selon la réglementation européenne (REACH) en vigueur.
L’objectif est de mettre sur le marché, dès 2025, 100 % de mouvements neufs avec des alliages sans plomb, en raison de l’impact de ce matériau sur l’environnement et sur la santé.
Étude de substitution des huiles minérales par des huiles végétales
Utilisées dans les processus de fabrication pour éliminer les copeaux, réduire la friction et la chaleur lors de l’usinage des métaux, les huiles de coupe font actuellement l’objet d’études pour allonger leur durée de vie et réduire les quantités approvisionnées. En marge de ce projet, Rolex explore actuellement des solutions, en partenariat avec des fournisseurs, pour remplacer les huiles de coupe d’origine minérale par des produits de nouvelle génération – les esters synthétiques végétaux – sur l’ensemble de ses équipements de production.
Synthétisées à partir d’une huile végétale et d’un alcool, ces nouvelles huiles de coupe ont scientifiquement fait leurs preuves grâce à leurs propriétés lubrifiantes et leur bonne résistance à l’oxydation. Cette solution est encore peu répandue dans l’industrie en raison de son coût élevé. Rolex fait également figure de pionnière dans ce cadre en utilisant à la fois des bases végétales exemptes d’huile de palme et des matières premières en provenance d’Europe uniquement. Une analyse du cycle de vie comparative avec une huile à base végétale répondant aux critères de qualification est en cours de réalisation.
Écoconception
Réduire l’impact environnemental des produits
Dans l’optique de réduire toujours plus l’impact environnemental de ses activités, Rolex s’attache à intégrer des principes de durabilité dès la conception de ses projets. Cette approche d’écoconception touche notamment la sélection, le développement et l’optimisation des matériaux, mais aussi les services, les processus de fabrication ainsi que la gestion de la performance et de la qualité. Large et transverse, cette démarche s’appuie sur des analyses de cycle de vie pour mieux comprendre et cibler les opportunités d’amélioration.
Analyses du cycle de vie
L’analyse du cycle de vie (ACV) permet de mesurer l’impact environnemental d’un produit, d’un procédé ou d’un service tout au long de son cycle de vie. Cette méthode a largement fait ses preuves dans divers domaines et Rolex y recourt pour orienter ses choix dès la conception d’un projet et définir des pistes d’amélioration. Pour un produit, l’analyse du cycle de vie reconstitue le chemin qui mène de l’extraction des matières premières au recyclage, en passant par sa fabrication, son transport, sa distribution et son emploi. Régie par des normes internationales, cette méthode quantifie et évalue l’impact global qu’un produit peut avoir sur plusieurs indicateurs environnementaux, tels que le changement climatique, les ressources terrestres, la qualité des écosystèmes ou encore la santé humaine. Ces analyses peuvent servir à valider des choix ou à amorcer des changements, que ce soit pour les montres, les produits connexes ou dans le cadre de nouveaux processus de fabrication.
À titre d’exemple, Rolex a appliqué cette méthode dans le développement de nouveaux écrins pour ses montres. C’est également une ACV qui a orienté la sélection de nouvelles matières pour réaliser les décors des vitrines de présentation des produits.
Les premières études montrent que la qualité des ACV dépend de l’exactitude des données utilisées et des hypothèses choisies. Elles nécessitent donc des collaborations étroites interdivisions (Achats, Soutien et Infrastructures, Production, Commercial, Recherche et Développement, Impact et Durabilité). Cet effort collectif permet de consolider au mieux les données nécessaires aux différents calculs et de créer un référentiel pertinent.
Processus d’analyse du cycle de vie de Rolex, détaillant les étapes allant de l’analyse des stocks à l'amélioration et à l'optimisation.
Économie circulaire
Recycler l’ensemble des déchets de fabrication
Le recyclage de matériaux ou de résidus utilisés dans la production recèle, pour l’entreprise, un fort potentiel de réduction d’émissions carbonées. Cela représente pour Rolex un véritable levier d’action qui lui permettrait de réduire son impact en amont de sa chaîne d’approvisionnement.
Dans cette optique, la marque est engagée depuis plusieurs années dans une démarche de recyclage de l’ensemble de ses déchets de fabrication. Sont notamment concernés les métaux comme l’or, le laiton, le cuivre, le platine ou encore l’acier. À titre d’exemple, en 2023, le recyclage de 1 395 kg de carbure de tungstène chez un fournisseur d’outils de coupe a permis de réutiliser à 100 % le tungstène présent dans les outils.
Rolex a mis en place un programme dit d’analyse matière, afin d’évaluer les possibilités de recyclage. Les travaux en cours visent le remplacement d’éléments pétrosourcés par d’autres matériaux comme les polymères biosourcés. La marque travaille sur l’évolution des technologies de recyclage et de fabrication, ainsi que sur la création de circuits courts entre déchets de production et matières premières.
En parallèle, Rolex met en place des moyens pour recycler et traiter ses déchets. La marque a ainsi fait l’acquisition d’un four d’incinération pour réduire en cendres les déchets contenant les matières précieuses (l’or, principalement) et optimiser leur récupération. Cet équipement est la garantie d’une récupération optimale des déchets contenant des métaux précieux.
Utilisation de l’or circulaire industriel
Provenant des déchets d’or récupérés dans les ateliers de production, l’or circulaire industriel fait l’objet d’un affinage dédié pour être réinjecté dans la fabrication des montres.
Depuis une dizaine d’années, Rolex agit de sorte à limiter au minimum les pertes liées à l’emploi de matières précieuses. Une équipe d’une quarantaine de personnes a pour mission de veiller à amoindrir les pertes et dispose pour cela d’outils informatiques spécifiques. La marque travaille également avec ses fournisseurs pour concevoir les équipements facilitant la récupération des déchets par les opérateurs.
L’étampage, l’usinage et le polissage de l’or génèrent toute une série de déchets de production comme les tombants (des chutes d’alliages d’or qui ne nécessitent pas de traitement particulier avant réutilisation) ; les copeaux (déchets d’alliages d’or mélangés à de l’huile qui nécessitent un essorage et un lavage avant réutilisation) ;les poussières (présentes par exemple dans les chiffons de nettoyage et les brosses de polissage) ; les fumées (qui contiennent des particules d’or récupérées lors du brûlage des chiffons et des brosses).
Chaque gramme d’or traqué et récupéré dans les unités de production a une importance majeure car il n’aura pas à être remplacé par un gramme d’or provenant d’une mine par exemple.
Rolex dispose d’une fonderie qui lui permet de réaliser ses propres coulées en réutilisant les tombants. Le but est que les circuits soient les plus courts possibles, pour éviter le recours aux installations d’affinage énergivores, les pertes dues au processus d’affinage, ainsi que l’impact de la logistique.
Pour ce qui est des copeaux, Rolex les fond et les grenaille, puis les livre aux affineurs de manière à les rendre homogènes et à en connaître le degré de pureté(quantité d’or fin contenue).
Par ailleurs, Rolex possède une unité de brûlage qui lui permet de transformer certains déchets en cendres, afin d’en déterminer la teneur en or et de minimiser le poids à transporter pour l’affinage (procédé au cours duquel les métaux précieux seront extraits et reconcentrés sous forme de métaux purs). La marque récupère elle-même la poussière d’or présente dans les fumées de brûlage.
Ces différents efforts ont pu diviser les pertes par deux en dix ans (0,4 % en 2014 ; moins de 0,2 % en 2023).
Recyclage de l’acier Oystersteel
Pour alléger son empreinte carbone dans la chaîne d’approvisionnement de son acier Oystersteel, Rolex a lancé, conjointement avec son fournisseur principal, un projet pilote de recyclage de ses propres déchets de production. Ces derniers étant plus riches en éléments d’alliage que les déchets conventionnels, leur réintégration dans les coulées primaires permet d’affaiblir significativement l’impact environnemental. Dans ce cadre, huit coulées tests au total ont été réalisées depuis décembre 2022 permettant d’améliorer le taux de recyclage de dix points et de réduire les émissions de gaz à effet de serre à hauteur de 35 %. L’objectif est maintenant d’atteindre une diminution des émissions de –30 % à l’horizon 2025.
Focus
Conditionnement des outils de coupe
Pour développer la circularité dans ses flux de déchets, Rolex souhaite donner une nouvelle vie au plastique d’emballage des outils de coupe. Ce projet vise à récupérer les conditionnements utilisés, à les acheminer en circuit fermé chez les fournisseurs pour qu’ils broient la matière puis la réinjectent dans la fabrication de nouveaux conditionnements (recyclage et réutilisation).
Le flux de récupération mis en place avec trois partenaires à Genève et à Bienne a déjà permis de réutiliser 10 % des conditionnements.
L’objectif à l’horizon 2025 est de recycler 90 % des conditionnements non réutilisés en les broyant et en réinjectant la matière pour en fabriquer de nouveaux.
Satisfaction des clients
Une relation de confiance
Pour approfondir la relation de confiance qui lie depuis toujours les clients à la marque, Rolex a fixé dans tous les domaines un degré d’exigence maximal. Pour cette raison, la marque porte une aussi grande attention à la qualité qu’à la fiabilité de ses produits. Cette ambition d’excellence évolue aujourd’hui en intégrant dans ses pratiques les enjeux de durabilité : dans ses procédés de production, mais aussi dans la logique de son déploiement commercial. Cela se traduit par un contrôle qualité extrêmement strict et par le déploiement d’un système de garanties et de services d’entretien irréprochables. L’entreprise travaille également à la construction d’un nouveau site de production à Bulle pour accompagner sa croissance et accélérer sa réponse à la hausse de la demande.
Sceau vert
Depuis 2015, toutes les montres Rolex sont certifiées Superlative Chronometer, un statut d’excellence symbolisé par un sceau vert. Ce titre exclusif atteste que la montre a subi avec succès une série de tests particulièrement exigeants, menés par Rolex dans ses propres laboratoires et selon ses propres critères, en complément de la certification officielle du Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) de son mouvement.
Ce sceau atteste également de la conformité de toutes les montres Rolex aux standards de qualité et de performances fixés : la précision, l’étanchéité, l’autonomie, le remontage automatique, la résistance au magnétisme, la fiabilité et la durabilité.
Garanties
Les montres Rolex neuves bénéficient d’une garantie de cinq ans. Pour les montres révisées et les montres de seconde main, la garantie couvre une période de deux ans. Rolex assure le remplacement des pièces détachées jusqu’à 35 ans après la fin de la production de chaque modèle. Passé ce délai, la marque fabrique des pièces spécifiques de remplacement, selon la demande.
35 ans
Disponibilité des pièces de rechange pour le service après-vente
Pour bénéficier de la garantie Rolex, les montres – neuves ou de seconde main – doivent être achetées auprès des détaillants officiels Rolex. Grâce à leurs compétences et à leur savoir-faire technique, ceux-ci garantissent l’authenticité de chacune des montres et s’assurent de leur fonctionnement année après année. Des programmes d’entretien spécifiques ont également été établis afin d’entretenir et de remplacer des composants au fil du temps. Des pièces de rechange originales sont distribuées depuis Genève à tous les centres de service dans le monde.
Service après-vente
Nos montres ont été conçues pour durer. La marque a mis en place dès le début un service après-vente unique en son genre, dans le but d’assurer partout dans le monde l’entretien de produits à la longévité revendiquée, mais aussi pour limiter le transport et les délais de traitement. Cette exigence fondamentale de qualité lui a permis de garantir que toutes ses montres sont entretenues de la meilleure manière possible, et qu’elles maintiennent ainsi leur niveau de performance au fil du temps.
3 550
Personnes employées dans le service après-vente, dont 1 100 dans les filiales
450 000
Montres révisées annuellement
Focus
Programme de formation After-Sales Service Watchmaker
Lancé en 2015, le programme de formation After-Sales Service Watchmaker a pour but de permettre à de jeunes adultes à travers le monde d’apprendre le métier d’horloger de service après-vente. D’une durée d’un an et demi, cette formation enseigne l’entretien des produits Rolex et donne, dans un second temps, un accès à des programmes de perfectionnement. En 2023, 74 futurs horlogers ont suivi cette formation à travers le monde ; 19 d’entre eux ont terminé leur cursus en février. Ce qui porte à 61 le nombre d’horlogers formés pendant l’année sous revue. En parallèle, les services commerciaux ont lancé un processus d’harmonisation de ce programme. À terme, toutes les filiales se baseront sur un programme unique, le Rolex Watchmaker Training, auquel s’ajouteront deux formations spécifiques complémentaires : celles de termineur et d’opérateur en horlogerie.
Focus
Programme Rolex Certified Pre‑Owned
Rolex garantit sur la durée la confiance que ses clients peuvent avoir en ses produits. Car ses montres gardent leur valeur dans le temps et peuvent être revendues de façon sûre en conservant leurs qualités d’origine.
Dans ce sens, la marque a lancé en décembre 2022 le programme Rolex Certified Pre-Owned pour offrir la possibilité d’acquérir auprès de ses détaillants officiels des modèles de seconde main, certifiés et garantis par ses soins. Ces montres bénéficient de tous les critères et exigences de qualité qui caractérisent les produits de la marque. Elles possèdent en outre une garantie internationale de deux ans. En pratique, les revendeurs Rolex peuvent aujourd’hui acheter des montres d’occasion sur le marché, avant de les remettre à la marque pour leur certification. Le programme d’entretien pourra ensuite être effectué par Rolex ou par un détaillant officiel, avant la revente dans leur boutique et sur leur site internet. Cette démarche à l’origine commerciale s’inscrit aujourd’hui pleinement dans l’approche de durabilité de la marque qui souhaite accompagner la seconde vie de ses produits déjà en circulation sur le marché, dans l’idée de les conserver, de les entretenir et de garantir leur bon fonctionnement dans le temps.